Z comme Zzz

Quand tout le monde dort tranquille, c’est l’heure où l’on se glisse en cachette dans les ruelles des villes. Un étrange paquet dans les bras. Un fardeau que l’on dépose devant une porte bien précise. Puis on part, on s’enfuit en courant. Ou bien on s’éloigne dans un recoin plus sombre encore, et l’on observe, on guette, on attend.

Note : L’hospice de Joigny disposait en principe d’un tour, supprimé en 1850,
mais celui-ci n’est jamais mentionné dans les actes.
On parle toujours d’enfants trouvés « à la porte de l’hospice ».

Surtout, ne pas se faire prendre : abandonner un enfant de moins de sept ans « en un lieu non solitaire » est puni de trois mois à un an d’emprisonnement, et de seize à cent francs d’amende (peines alourdies si l’enfant est déposé en un « lieu solitaire »).

Lorsque la porte s’ouvre, c’est pour révéler un bébé tout emmailloté, du nouveau-né au format six mois. Rarement, l’enfant est déjà grand. Les enfants abandonnés à Joigny pendant cette période avait entre quelques heures et huit ans.

Joigny vue prise de l'église St JeanJoigny, vue prise de l’église Saint-Jean (AD-89)

La déclaration en mairie

Chaque matin où la nuit laisse à la porte son étrange cadeau, le rituel est immuable. Le receveur de l’hospice part à la mairie déclarer les enfants.

Il y eut Étienne Lavenue, qui décède à l’âge de 69 ans, le 30 juillet 1813. Sans doute malade, il ne déclarera pas le dernier enfant qui fut trouvé avant sa mort, le 24 juillet au soir. C’est Jean Théodore Dumond, notaire impérial et secrétaire de l’administration de l’hospice de Joigny, qui le remplacera dans son office jusqu’au mois d’octobre ou novembre 1813, et la nomination d’un successeur : Jean-Baptiste Chaudot-Richemont, 38 ans, qui effectue sa première déclaration en mairie le 10 novembre 1813, et qui sera l’auteur de toutes les déclarations ultérieures.

Signatures-hospice-JoignySignatures des trois personnes ayant déclaré les enfants trouvés de Joigny entre 1813 et 1822.

Qu’on ne se méprenne pas, le receveur de l’hospice n’était pas la personne en charge de recevoir les enfants trouvés, mais la personne en charge de gérer… les biens de l’hospice !

L’établissement des actes de « naissance » des enfants trouvés est un mécanisme précis : date et heure de la découverte, sexe, âge approximatif de l’enfant, descriptif détaillé de ses vêtements (types, couleurs, matières, et parfois qualité), note quant à la présence d’une marque distinctive (un ruban accroché au bras, une cicatrice à la lèvre,…) et à l’existence d’un billet laissé à l’enfant.

Que contenaient-ils, ces billets ? La plupart du temps, le(s) prénom(s) de l’enfant. Une précision sur le fait que l’enfant soit baptisé ou non. Parfois, une date de naissance ou de baptême. Une recommandation. Un souhait, celui que l’enfant soit placé auprès d’une bonne nourrice. Un espoir, celui de venir, un jour, récupérer l’enfant. Et parfois également les raisons de l’abandon : « mis à l’hospice par misère« …

Ruban-MadeleineUn acte parmi d’autres : Madeleine Ruban (cliquez pour agrandir)

Venait ensuite le moment du nom. J’ignore si les noms étaient vraiment choisis par l’officier d’état civil, ou si c’était le receveur de l’hospice qui les proposait. Peut-être un peu des deux, en fonction de l’inspiration du moment. Mais vous avez pu voir à quel point ils étaient créatifs en la matière.

Vers les villages alentour

Voilà notre enfant trouvé doté d’un nom et d’un prénom. Arrive le moment fatidique : que va-t-on faire de cette petite chose ? La réexpédier dans la campagne dont elle était sans doute originaire, pardi ! Et les départs ne semblent pas traîner, vu le peu d’écart entre certaines déclarations en mairie, et certains décès à la campagne.

En effet, en vertu d’un décret de 1811, alors en vigueur, les enfants trouvés nouveaux-nés devront être mis en nourrice « aussitôt que faire se pourra« . Dans l’intervalle, ils seront nourris au biberon ou par une nourrice résidant à l’hospice.

Joigny-Cassini-flèchesQuelques destinations des enfants de l’hospice de Joigny.

Béon, La Celle-Saint-Cyr, Cézy, Chamvres, Champlay, Guerchy, Looze, Neuilly, Saint-Aubin… autant de destinations à moins de quinze kilomètres de Joigny pour ces « chères petites têtes blondes ».

Étant donné le « peu » (tout est relatif) d’enfants trouvés à Joigny et la proximité des villages où les enfants étaient mis en nourrice, je doute qu’il ait existé des meneurs, comme cela a pu être le cas à une époque pour les enfants trouvés de Paris. Je suppose que l’on prévenait tout simplement la nourrice, et qu’elle venait chercher l’enfant. Ou encore qu’un employé de l’hospice le lui apportait. Mais les charrettes emplies de nouveaux-nés ne faisaient pas partie de l’univers de l’hospice de Joigny : pas assez d’enfants pour cela.

Une « bonne » nourrice ?

Au XIXe siècle, vous le savez, la mortalité infantile est élevée. Alors pour ces petits êtres abandonnés, mal nourris, propulsés en quatrième vitesse chez une nourrice, parfois sans le sou, qui s’en occupera peut-être, mais qui ne leur apportera pas nécessairement l’amour dont ils manquent cruellement… C’est un peu l’hécatombe.

Un exemple parmi d’autres. Chamvres, années 1820, 1821 et 1822. Un peu plus d’un tiers des actes de décès de la commune sont relatifs à des enfants abandonnés.

Chamvres-D-1820-1822Les « enfants en nourrice » de ce tableau sont des enfants
confiés à des nourrices par leurs parents.

Le constat est sans appel. Sur les 299 enfants de l’hospice de Joigny, j’ai retrouvé la trace de 89 décès pendant l’enfance (soit près de 30 %, sans compter ceux que je n’ai pas retrouvés), décès intervenus en règle générale pendant les premiers mois, voire premiers jours. 25 de ces enfants s’en sont sorti. Reste le plus grand nombre, ces 185 autres, et une question : que sont-ils devenus ?

Même si mes recherches menées sur la région de Joigny, nécessairement lacunaires, ne permettent pas de conclure à une surmortalité très importante des enfants trouvés, cette dernière était bel et bien une réalité.

Enfants-trouvés-FranceTravaux de la commission des Enfants-Trouvés instituée le 22 août 1849 (Gallica)
Extrait de l’état 1 : Mouvement des enfants trouvés de 1815 à 1842
Je vous invite à comparer la colonne « totaux » pour le nombre d’enfants admis,
et la colonne « totaux » pour les morts…
Autre remarque : le nombre croissant d’enfants trouvés sur la même période.

Impossible de savoir dans quel état arrivaient les enfants chez les nourrices. Impossible de savoir si celles si se contentaient de s’en occuper, plus ou moins bien, pour de l’argent, ou si elles leur apportaient également de l’amour.

On peut en tout cas s’étonner d’une chose : l’âge des nourrices. On s’attendrait plutôt à trouver des femmes ayant des enfants en bas âge, de sorte qu’elles puissent allaiter l’enfant qu’on leur confiait. Eh bien pas du tout, comme nous allons le voir. A Chamvres, qui comptait environ 600 habitants sur la période considérée, il y avait au moins onze nourrices. Quatre d’entre elles ne travaillaient pas pour l’hospice de Joigny, mais pour les parents des enfants qu’elles gardaient.

Chamvres-début20e-extrait-carte-postaleChamvres au début du XXe siècle. Extrait d’une carte postale (AD-89).

Restent les sept autres (période 1820-1822) :
– Augustine Barbot, âgée de plus de 50 ans, épouse de Thomas Jannin : 6 décès déclarés
– Anne Denis, âgée de plus de 50 ans, veuve de Florentin Hittier : 1 décès déclaré
– Marie Gamard, veuve de Jacques Perreau : 1 décès déclaré
– Geneviève Hittier, âgée de plus de 50 ans, veuve de Louis Poitrat : 6 décès déclarés
– Véronique Hittier, âgée de plus de 50 ans, épouse de Matthieu Nicaise : 6 décès déclarés
– Marguerite Moreau, veuve de Martin Chollet : 1 décès déclaré
– Catherine Perreau, âgée de plus de 50 ans, épouse de Léonard Fromentot : 1 décès déclaré

Nul besoin d’être grand clerc pour constater que les « nourrices » n’allaitaient pas les enfants qu’on leur confiait. Mais alors, comment étaient-ils nourris ? Par une de leurs filles ou belles-filles ? Avec des biberons de lait de chèvre ? Comment s’étonner dans ces conditions que certaines déclarent six décès en à peine trois ans ? Comment s’étonner de la surmortalité des enfants trouvés ?

Parlons argent…

Ce qui sous-tend les politiques publiques de l’époque en matière d’enfants trouvés semble plus être la maîtrise des coûts que le bien-être des enfants. Même la lutte contre les abandons est liée à des considérations financières.

Dépense-Enfants-trouvés-Yonne-1810Nombre des enfants trouvés en 1810 dans les divers départements de l’Empire.
Travaux de la commission des Enfants-Trouvés instituée le 22/08/1849 (Gallica)
Avec 113 francs annuels par enfant, l’Yonne est le département qui alloue la plus forte
somme à chaque enfant trouvé. A l’autre bout, l’Ardèche, avec 63 francs par an et par enfant.

Voilà par exemple un extrait d’un rapport du ministère de l’intérieur adressé à Napoléon en 1810, rapport préalable au décret de 1811 :

« Le nombre des Enfants trouvés est de 80.000, leur dépense est de 7.600.000 fr. : c’est un peu moins de 100 francs par individu, ou à peu près 8 francs par mois. L’État fournit 4.100.000 francs ; il reste à la charge des hôpitaux, des communes, ou en déficit, 3.500.000 francs.
Je pense qu’un meilleur système réduira le nombre des Enfants à 60.000, et la dépense à 5.800.000 francs ; de sorte que si Votre Majesté continue un subside départemental de 4.000.000 francs, il ne restera à la charge des communes et des hospices que 1.800.000 francs, qui peuvent être facilement supportés par ces caisses. »

Les rétributions des nourrices varient selon les localités. Les sommes sont décroissantes en fonction de l’âge des enfants (l’idée étant que plus ils grandissent, plus ils peuvent aider leurs parents nourriciers). La somme versée pour un enfant de moins d’un an est d’environ dix francs par mois.

Naturellement, le pouvoir craint la fraude : il ne veut pas payer pour des enfants qui seraient décédés. Moralité : les mois de nourrice ne sont rétribués que sur certificat du maire de la commune, attestant mensuellement avoir vu les enfants.

Le décret de 1811 impose également aux commissions administratives des hospices de faire visiter chaque enfant trouvé au moins deux fois par an, « soit par un commissaire spécial, soit par les médecins ou chirurgiens vaccinateurs ou des épidémies« .

Itinéraire d’un enfant trouvé

Si l’enfant survit à ses premières années, voilà son parcours :
– jusqu’à six ans : chez sa nourrice
– après six ans : en pension chez un cultivateur ou un artisan (qui verra la somme qu’on lui verse diminuer annuellement à mesure que l’enfant devient « rentable »)
– à partir de douze ans : l’enfant doit, dans la mesure du possible, être placé en apprentissage. Pas question pour l’État de débourser un seul centime : l’apprenti aura droit au gîte et au couvert, en échange de quoi il travaillera gratuitement pour son maître jusqu’à un certain âge fixé par le contrat d’apprentissage (au maximum 25 ans)

Jules-Breton-Le-rappel-des-glaneusesJules Breton, Le rappel des glaneuses (source : Wikipedia)

Pour ceux que l’on n’arrivait pas à placer, ou qui étaient handicapés, ils étaient élevés par l’hospice et on les occupait « dans des ateliers, à des travaux qui ne soient pas au-dessus de leur âge« .

L’État ayant le sens des affaires et de la suite dans les idées, il pouvait également disposer librement des garçons afin d’en faire des soldats (et ce même si cela devait conduire à rompre unilatéralement un contrat d’apprentissage).

Une vie meilleure ?

Certains enfants rêvaient sans doute qu’un jour leurs parents viendraient les chercher. La chose arrivait. Mais elle était peu fréquente, peut-être aussi parce que les enfants décédaient avant que les parents ne se soient décidés à les reconnaître. Ainsi, seuls six enfants, sur 299, ont été récupérés par leurs parents.

L’État, pragmatique, avait prévu la chose : si les parents souhaitant reconnaître un enfant trouvé en avaient les moyens (chose au demeurant assez douteuse), ils devraient rembourser toutes les dépenses faites par l’administration. Et s’il s’agissait d’un garçon envoyé à l’armée, cela ne faisait pas cesser pour autant ses obligations miliaires.

L'Heureuse familleL’Heureuse famille, tableau attribué à Louis Le Nain, 1642
(source : Wikipedia)

Parfois, l’enfant était également retiré de la tutelle des hospices par des « bienfaiteurs », quoique je n’ai jamais rencontré ce cas de figure.

Quand le temps des rêves était passé, certains parvenaient à se défaire de leur histoire en fondant la famille qu’ils n’avaient jamais eue. Et pour le mariage, l’accord des parents ne pouvant être obtenu, c’était l’hospice qui y suppléait. Mais même si l’enfant trouvé était enfin « quelqu’un », qu’il était Madame Untel, ou bien le tonnelier du village, l’étiquette « enfant trouvé » continuait de lui coller à la peau. A tel point que le numéro matricule attribué par l’hospice figurait souvent sur les actes de décès des enfants trouvés, même soixante-dix ans après qu’on les ait découvert devant une certaine porte, dans la nuit noire qu’éclairaient seulement la lune et les étoiles, pendant que le sommeil régnait sur la ville.


C’est ici que se referme ce Challenge AZ. Ici que nous quittons Jules Avril et Étienne Framboise, Théodora Gricole et Anastasie Minuit, Adolphe Renvoyé et Victor Salière, et les 293 autres enfants trouvés de l’hospice de Joigny (1813-1822).

Pour aller plus loin
L’essentiel des informations contenues dans cet article provient des très intéressants et très complets Travaux de la commission des Enfants-Trouvés, instituée en 1849 par le Ministère de l’Intérieur, en deux tomes, le tome 1, et le tome 2.
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26 commentaires pour Z comme Zzz

  1. Guillaume dit :

    Félicitations pour ce Challenge très réussi Pauline. Il a fait partie de mon top 3 des blogs que j’ai consultés en juin. Une belle découverte, un thème passionnant, des illustrations à la limite du poétique sur un sujet finalement assez tragique. Tu as su illuminer le parcours de ces enfants grâce à ta plume. Vraiment, bravo ! Je continuerai de suivre ton blog.
    A bientôt,
    Guillaume

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    • Pauline dit :

      Merci beaucoup Guillaume. Tu fais également partie de mon top 3, la vie d’Etienne mériterait bien un roman, surtout lorsqu’elle est racontée comme tu as su le faire ! A bientôt !

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  2. wurtzele1 dit :

    Toutes mes félicitations pour ce challenge très étoffé, c’est également un de ceux que j’ai suivi le plus!

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  3. feuillesdardoise dit :

    Merci pour ce très beau challenge. Bravo pour la présentation de ces petits enfants, et ton écriture, concise, précise, originale… Bref ! Des articles toujours agréables à lire et à relire ! Félicitations !

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  4. Merci Pauline pour ta participation au challenge ! Tu nous as régalé pendant tout le mois de juin, et tu termines sur un sacré article. J’habite à quelques kilomètres de Joigny, peut-être est-ce pour cela que j’ai été touchée par toutes ces petites vies.
    Heureusement, pour éclairer ces tristes destins, il y a Ildephonse Milord (je ne m’en suis pas encore remise !).

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  5. Raymond dit :

    Bravo Pauline.Merci de nous présenter aujourd’hui les nourrices et les receveurs de l’hospice, j’avais envie d’en savoir un peu plus sur eux. Merci aussi d’avoir choisi un le presque même titre (très beau) que moi pour ce dernier jour (Tu n’avais peut-être pas d’Arthur Zèbre ou d’Adélaïde Zombie ?). J’étais aujourd’hui aux archives départementales des Deux-Sèvres et il a été évoqué le projet de numérisation de documents ayant trait aux enfants abandonnés. Je ne sais pas pourquoi mais ça m’a interpelé !

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    • Pauline dit :

      Je confirme pour le titre 😉 Quand j’ai vu ton thème, je me suis dit qu’on se rejoindrait. Eh non,pas de petit enfant en Z (mais je vois que tu aurais fait un excellent officier de l’état civil ^^).
      Je me demande jusqu’où ira la numérisation…

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  6. Cedeca dit :

    Bravo pour ce remarquable travail !
    Vous avez réussi à mettre douceur et tendresse là où il y en eut peu, et rigueur et précision pour restituer dans le contexte cette triste réalité.
    Ce fut très enrichissant de vous lire.
    J’ai hâte de voir vos prochains billets.
    Merci

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  7. evelyneachon dit :

    Quel magnifique hommage à tous ces petits anges ! Vous avez réussi à les sortir de l’oubli tout au long de ce challenge émouvant. Merci pour le partage 😉

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  8. fobrice dit :

    Ouf c’est terminé! 🙂 Bravo Pauline pour ton énorme travail d’analyse et d’écriture. Très bel article de cloture, très émouvant!
    D’autres idées pour un challenge l’année prochaines?

    Fabrice

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  9. Sylvaine dit :

    J’ai lu d’une traite votre challenge AZ qui rend une histoire à ces invisibles parmi les invisibles et les berce de la tendresse dont ils ont été privés. Merci mille fois, nous aurions beaucoup manqué si effectivement vous ne vous ne vous étiez pas lancée dans l’aventure cette année 😉 Lire la description méthodique de ces bouts de chiffons, seuls à même de donner peut-être une individualité à chacun de ces enfants, m’a irrésistiblement remis en tête l’exposition pleine de sens, elle aussi, du Foundling Museum de Londres, « Threads of feeling » que vous connaissez probablement : http://www.threadsoffeeling.com/

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  10. Elisa dit :

    Passionnant de la lettre A à la lettre Z ! Tout a été déjà dit dans les commentaires précédents et j’y souscris totalement. Un très très grand bravo pour la richesse de tes articles. Au plaisir de te suivre…

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  11. Deb dit :

    Votre challenge était passionnant! Quel travail de recherche et de présentation! Ces enfants n’en méritaient pas moi.
    Bravo!

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  12. fobrice dit :

    Bonjour,
    Je suis tombé sur cet article http://les8petites8mains.blogspot.fr/2013/03/la-veture-des-enfants-trouves-1-le.html ça m’a fait penser à votre thème du challenge.
    Vous préparez-vous à l’édition 2016?

    Fabrice

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    • Pauline dit :

      Merci beaucoup pour le lien !
      Concernant le Challenge 2016, disons pour le moment que je réfléchis… Je ne sais pas encore sur quel thème je vais partir : plusieurs idées qui se croisent et s’entrecroisent, un nombre réduit de lettres pour lesquelles je sais effectivement de quoi je parlerai. Ce sera dans tous les cas beaucoup plus large que le thème des enfants trouvés, si je participe effectivement (aucun article n’est écrit pour le moment, il faudrait déjà que j’ai toutes mes lettres).
      Et de votre (ton?) côté ?

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      • fobrice dit :

        On peut se tutoyer sans problème 😉
        Je ne pense pas y participer: en ce moment je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer à la généalogie donc encore moins à un travail de synthèse ou de fond que nécessite le challenge.
        Bonne semaine!

        Fabrice

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      • Pauline dit :

        😉
        Un peu le même souci de mon côté : contrairement au Challenge de l’année dernière où tout le travail de « débroussaillage » était fait près d’un an avant, je sais que je vais avoir beaucoup de recherches à faire cette année si je veux sortir des articles qui me conviennent. Je verrai bien ce que j’arrive à faire… et j’aviserai.
        Bonne semaine également !

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